Qu’aucun n’ose penser que l’être humain au haut de son existence ne puisse pas lui-même mettre fin ou tenter de mettre fin délibérément à ses jours, car cela se fait et à grande échelle ! C’est ce que l’on traduit par le mot : Suicide.
Placé tout en haut de la liste des causes de morts pullulants chaque année dans le monde, le suicide fait partie de ces moyens autant utilisés qu’éprouvés pour éteindre l’existence. Sujet ayant suscité nombreuses recherches et documentations, plusieurs hypothèses sont émises sur une soi-disant cause des suicides. De cela on déduit la plupart du temps une cause dépressive qui figure en tête de liste, puis se joignent à la partie : les facteurs atmosphériques, l’hypotension, les crises psychologiques, la menstruation, l’andropause, la ménopause et même la puberté.
Plus loin, une plus grande fréquence de suicide à travers le monde a été relevée dans la période prémenstruelle, avec pour maximum le premier jour des règles. La perte des sens, les problèmes familiaux, le stress du milieu ambiant, les expériences malheureuses et même la perte d’un être cher causent fort souvent le suicide d’autrui.
D’autres formes de suicide
On oppose traditionnellement le suicide, proprement dit, à d’autres comportements suicidaires, qui inquiètent 10 fois plus les yeux observateurs des phénomènes. Ce sont :
- La tentative de suicide, interrompu ou soldé en échec
- La velléité du suicide qui est un acte ébauché
- L’idée du suicide (qui s’avère dangereuse selon les experts car la personne se le représente mentalement et le planifie intelligemment; quelquefois sans mot dire)
- Et enfin d’autres équivalents du suicide se traduisant par le fait de se faire mal délibérément et/ou inconsciemment : le refus de se soigner, le refus de s’alimenter, le refus de s’extérioriser, le refus de prendre sur soi.
Toute une panoplie de facteurs auxquels l’être humain est sujet pouvant le pousser au suicide, mais dont on n’arrive pas grandement à faire fi. À part des suivis médicaux et psychologiques que l’on peut proposer à une personne atteinte de dépression, ll est fort probable que cette dernière se laisse aller au suicide.
Le 10 Septembre représentant la journée mondiale du suicide existe afin de rappeler au monde que la vie n’est pas toujours rose pour tous et que sous des sourires et rires éclatants ses cachent de grands suicidaires. Veillons l’un sur l’autre et aidons nous du mieux qu’on peut pour autant moins diminuer le taux du suicide dans le monde qui inquiète grave.
Crédit de l’image de couverture : https://www.santementale.fr/2021/03/recherche-deficit-en-memoire-de-travail-et-recidive-suicidiare/
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