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Les détails croustillants sur le championnat sexuel mondial

Récemment, l’actualité sur les récents champions du monde de la sexualité a defrayé la chronique sur les réseaux sociaux. L’Ukrainienne Olesia Prykhodko et l’italien Erik ont remporté la médaille de vainqueur dans leurs catégories, après avoir satisfait respectivement 210 hommes et 41 femmes. Voici d’autres détails intéressants sur cette compétition.

Ce championnat devait initialement se dérouler en Suède en 2023, mais des affaires de blessures et de dopages l’ont retardé et c’est finalement en Espagne qu’il a eu lieu en mars dernier. Il faut avant tout noter que les participants sont pour la grande majorité des acteurs de films pour adultes, et donc des habitués dans les prouesses sexuelles.

Ensuite, les concurrents se sont affrontés dans 16 disciplines différents, sur une période de six semaines. Chaque épreuve dure entre 45 minutes et une heure, et les participants peuvent concourir jusqu’à six heures par jour. De plus, les candidats sont évalués sur plusieurs critères, notamment le massage des membres et des zones érogènes du corps, les préliminaires, le sexe oral, la pénétration, l’éjaculation ou la libération, l’apparence des organes génitaux, les différentes positions, la créativité dans le changement de position, l’endurance et le nombre d’orgasmes provoqué chez son partenaire.

À chaque discipline, le jury attribue une note variant de 5 à 10, et au final, ce sont Olesia Prykhodko – dit Olesia Love – et Capitano Erik qui ont été sacrés champions. On salue les efforts titanesques fournis par L’Ukrainienne et l’Italien, mais on se demande toujours où sont les images de la compétition. De plus, tout tournoi sportif qui se respecte se doit d’avoir un public venu encourager son candidat favori.

On a bien l’impression que la partie la plus intéressante du championnat sexuel nous a été caché, mais on tire quand même notre chapeau devant les deux “GOAT” du sexe que sont Olesia et Erik. Actuellement, le verbe “mougou” se conjugue en seulement deux langues. À vous de deviner lesquelles.




Pa bliye f on kout je sou ribrik “Santé Sans Tabou” Bèlide Magazine nan

Nan premye sòti nou, nou pale sou enfeksyon vajinal kote nou gade kijan fanm ka genyen pwoblèm sa ak kijan yo ka rezoud li. Nou te pale tou sou kijan ti mesye yo jere ijyèn yo : kisa sa ka lakoz si yo mal jere pati entim yo e kisa yo ka gen tou si yo mal jere.

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