Depuis le début de la Coupe du monde féminine 2019, les américaines ont toujours réussi à inscrire des buts avant la douzième (12e) minute de jeu. Pourtant, durant cette finale, les Stars and Stripes ne sont pas parvenues à ouvrir le score avant la soixante-et-unième (61e) minute, jusqu’à l’attente d’un but de Rapinoe. Un retard largement compensé avec le deuxième but marqué par Lavelle, à peine huit minutes après. Définitivement, nous pouvons dire que la Coupe du Monde n’est pas le domaine de la Hollande, qui n’arrive toujours pas à s’imposer dans les deux catégories.
À l’issue de la finale de la Coupe du monde féminine, Me- gan Rapinoe a été sacrée meilleure joueuse du match. Toutefois, la capitaine des Stars and Stripes a également reçu le prix de la meilleure joueuse de la compétition, succédée par Lucy Bronze (deuxième) et Rose Lavelle (troisième). La gardienne néerlandaise, Sari van Veenendaal qui a reçu le Gant d’Or et l’allemande Giulia Gwinn, le prix de Jeune Joueuse de la FIFA. La France, enfin, s’est vue décerner le prix du Fair-play.
Une telle victoire pour les américaines mérite de très grandes félicitations sachant qu’elles sont sur le toit du monde depuis la Coupe du Monde en 2015 et succède à l’Allemagne qui avait réussi un tel exploit en 2003 et 2007.
De notre côté, comme l’a récemment fait la sélection masculine nous espérons de même pour nos Grenadières, avec le support des autorités concernées.
Alneus Jean Steven
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