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Dansalou Global : 100 femmes répondent à l’appel de Séphora Drouillard pour une éditon spéciale de la « Dance and Heal » à Miami

Dance-And-Heal
Sous l’impulsion de Séphora Drouillard, Dansalou Global organise la « Dance and Heal workshop » ce dimanche 2 février. Ce sera la deuxième édition qui aura lieu à Miami, et cette classe qui marie danse et thérapie va rassembler une centaine de femmes pour une séance qui promet d’être mouvementée.

Depuis maintenant sept années, Séphora Drouillard a su se forger une réputation de qualité aussi bien en Haïti qu’à l’étranger, et le concept « Dance and Heal » a fortement contribué à ce rayonnement international. Cette activité qui prône la guérison par la danse a eu lieu pour la première fois en avril 2024 à Boston. L’objectif étant d’étendre le concept partout aux US, d’autres grandes villes comme Miami et New York ont déjà eu leurs éditions par le passé.

Les éditions précédentes ont réunni cinquantes femmes à chaque fois, sans oublier de mentionner que les places ont toutes été reservées assez rapidement. Pour ce dimanche 2 février, ce sera la deuxième édition organisée dans le fief des Heat. Cette fois, il y a aura 100 participantes, et bien sûr, « Dance and Heal workshop » à Miami est déjà sold out.

« Dance and Heal » est un mélange de danse, de psychologie et de performances vocales. C’est aussi une manière d’encourager l’autonomisation des femmes. Cela ne se résume pas à de simples cours de danse, les participantes auront l’occasion de favoriser leur bien-être physique et mental tout en tissant des liens entre elles. Selon l’instigatrice, Séphora Drouillard, « Dance and Heal est une manière de dire aux jeunes que si moi je peux le faire après un parcours de 7 ans, alors eux aussi ».

Cette activité sera à n’en pas douter une réussite sur tous les points, car trouver un espace de dialogues sains entre femmes n’est pas chose facile.

Comme le dit si bien la fondatrice de Dansalou, à Dance and Heal « Fanm ap tande istwa fanm, fanm ap enspire yo de fanm, fanm ap soutni fanm, e fanm sa yo rive konprann dans ka sèvi yo kòm « appui psychosocial » pou ede yo santi yo pi byen, ede yo geri tèt yo epi travay sou tèt yo kòm moun ».

Face à tous ces avantages, une édition en Haïti ne serait pas trop demandée.

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